Un collectif, qui a projeté un message sur la façade du comité d’organisation, s’inquiète des démantèlements de campements informels, du déplacement « forcé » de sans-abri, des évacuations de foyers de travailleurs immigrés et des interdictions de distributions alimentaires.
Dans l’Ouest on voit des gens arriver depuis la capitale, mis en attente ici pendant 1 an. La gueule des JO au pays des droits de l’Homme :/